nous ne sommes ainsi pas tout e0 fait d'accord quand tu dis que la froitratsun de l'usager repose sur l'impossibilite9 de se servir du catalogue comme un outil personnalisable et 2.0 : nous ne pensons pas que les OPACs des bibliothe8ques deviendront autant de communaute9s dynamiques et personnalise9es, car leur vocation premie8re reste l'acce8s et la de9couverte d'un catalogue localise9.Mais pour autant, nous sommes convaincus des be9ne9fices du 2.0 en bibliothe8que. La richesse des contenus et des me9tadonne9es ge9ne9re9es par les utilisateurs offre des opportunite9s nouvelles de valorisation des catalogues : dans la bibliothe8que de Toulouse, de Saint-Raphaebl et bientf4t dans plusieurs autres, l'usager lit des avis d'amateurs et de professionnels, de9couvre des extraits choisis par les internautes, peut rechercher des livres du catalogue sur plusieurs dizaines de milliers de the9matiques communautaires et (bientf4t) ree7oit des recommandations de lecture de qualite9.@Bertrand : e0 notre avis l'enrichissement des catalogues en 2.0 est ne9cessaire, mais il passe par l'enrichissement des bases de donne9es en contenus 2.0 et non par l'enrichissement des catalogues en services 2.0.Avec Babeltheque, nous offrons 400 000 tags communautaires, 50 000 recommandations de lecture ge9ne9re9es par nos utilisateurs, 50 000 critiques et extraits de livres qui viennent s'implanter directement dans le catalogue en webservices, de l'association d'e9dition, des notes etc. Tout cela pour enrichir les catalogues, offrir de nouvelles formes de me9diation, de recommandation, de recherche et de de9couverte. Nous invitons les bibliothe8ques e0 venir tester ces outils, e0 expe9rimenter ces enrichissements venant du 2.0 : ces services sont de9je0 en usage dans plusieurs bibliothe8ques, de nouvelles te9moignent de leur inte9reat chaque mois et plus le temps passe plus la valeur de ces bases de donne9es 2.0 s'enrichit.L'e9quipe de Babelio/Babeltheque